Archive for the 'Concerts – spectacles' Category



25
Oct
18

L’harmonie dans la dynamique de ses 120 ans

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Dans le cadre des 120 ans de l’harmonie, après le concert de l’Orchestre de cuivres de la Musique de l’Air de Paris en février, un second temps fort était prévu ce week-end. Tout d’abord samedi, les musiciens de Burbure accueillaient pour leur septième concert d’automne, leurs homologues de Violaines, excellente formation classée en division d’Honneur, plus haut niveau amateur. Ce fut en effet une belle rencontre musicale et conviviale en présence de 400 personnes. Et dimanche, il y avait une exposition qui retraçait toute l’histoire de la société.

Samedi donc, après un raccord des deux ensembles à 19h, ce sont Les comédiens de Charles Aznavour qui introduisaient ce concert, en hommage au chanteur-compositeur récemment disparu. Le président Amaury Bart, prenait ensuite la parole avec humour, communiquant dans l’au-delà, avec son arrière-grand-père Jean, décédé le 20 octobre 1990, qui l’a précédé dans la fonction dans les années 1970 et 1980. Il remerciait le maire et les élus, les représentants des associations locales et voisines, et saluait la présence d’Antoine Langagne, chef de la musique de la Garde Républicaine. Il présentait aussi Didier Barrez qui a rejoint l’harmonie depuis la rentrée.
Une pensée particulière était adressée à deux musiciens absents et souffrants : le doyen Claude Potier, 88 ans et André Héren.

La dernière d’Anicet
Sous la baguette de Gilles Foulon, le programme démarrait comme d’habitude par une marche, Novita du compositeur Wim Laseroms, maître en la matière. Puis, venait One life, pièce mélodique et mélancolique, introduite par Mélanie Lacombe au cornet. C’était ensuite Anicet Bart qui dirigeait pour la dernière fois l’harmonie, après 14 mois passés à sa tête, dans Scènes des Aztèques, œuvre difficile et exigeante, sur une vidéo réalisée par Olivier Leleu.
Music for a solemnity, titre festif en hommage aux musiques de films de John Williams faisait briller les cuivres et les percussions. La première partie se terminait par un fameux négro-spiritual, Down by the riverside, avec l’improvisation au saxo ténor de Michel Pailleux.

Après l’entracte, les musiciens de Violaines prenaient le relais dans un répertoire tout aussi riche. Dirigés successivement par Jean-Paul Lekeux et son adjoint, Gaylord Mouquet, le public pouvait d’abord apprécier Ivanhoé, composition héroïque sur la vie du chevalier. Suivait The wall, œuvre contemporaine sur la construction de murs et murailles par les hommes depuis des siècles et toujours d’actualité en ces temps troublés. Les compositeurs locaux étaient aussi mis à l’honneur avec Western tunes et Rock baroque, de Marcel Chapuis, natif de Bapaume et High voltage de l’Arrageois Thierry Deleruyelle.

130 musiciens sur scène
Des présents étaient alors remis aux quatre directeurs et aux présidents, avant que les cent trente musiciens se retrouvent sur scène pour deux titres joués ensemble : le jazzy Opus swing, dirigé par Jean-Paul Lekeux et le joyeux et chantant Dans les yeux d’Émilie, bien connu des bandas du sud-ouest.
Les musiciens des deux formations pouvaient alors se retrouver pour un pot de l’amitié, accompagné d’un casse-croûte où les échanges furent nombreux et conviviaux, où ils ont promis de se retrouver en juin 2020 à Violaines, en ouverture de la fête de la fraise. Le rideau tombait ainsi sur cette belle soirée… Mais le week-end n’était pas terminé puisqu’il restait l’exposition du lendemain. Nous y reviendrons.

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18
Sep
18

Ils ont retrouvé Mioussov

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Que ne ferait-il pas pour obtenir la signature du responsable des approvisionnements, préalable nécessaire pour acheter 50 kg de peinture destinée à la réfection de la crèche ?

En toile de fond, la rigidité administrative de l’Union soviétique… qui s’affiche clairement dans le décor. Mais cela pourrait être la rigidité administrative de n’importe quel pays. Suffit de changer les couleurs du drapeau.
Afin de surmonter la difficulté, et pour le bien commun, Zaïtsev finit par se faire passer pour le mari de Klava Igniatiouk, agronome dont on parle beaucoup dans les journaux. Objectif : rencontrer l’incontournable fonctionnaire Mioussov, dans son habituelle maison de repos. Problème : Klava Igniatiouk en personne arrive dans cette même maison… d’où quantité de quiproquos et de comiques de situations. D’autant que Zaïtsev n’est pas le seul à rechercher ce Mioussov qui, se croyant poursuivi par un mari jaloux, se planque dans la salle de billard, dans les placards et l’horloge de facture ancienne.
La pièce écrite par Valentin Kataiev date de 1947, traduite en Français la même année, a été jouée de nombreuses fois notamment dans notre région. Elle était même à la mode, il y a une trentaine d’années. Et comme elle n’a pas pris une ride, elle nous revient avec cette fois, le théâtre des Trois-Mots. L’association burburaine donnait la première représentation de cette pièce, samedi salle polyvalente. Avec dix acteurs et actrices sur scène et deux heures de spectacle, la troupe a ravi son public, multi générationnel, qui a bien rigolé autant séduit par les dialogues et les répliques, que par la mise en scène et la qualité du jeu des acteurs… Acteurs amateurs certes, mais qui restent imprégnés des cours de théâtre qu’ils ont suivis, il y a quelques années. Un vrai spectacle de qualité, idéal pour amener les plus jeunes générations au théâtre ! Philippe VINCENT-CHAISSAC / Votre Info

La troupe va maintenant entamer une tournée en région avec comme premières dates : le 3 novembre à Lille, le 10 novembre à Guarbecque, le 9 février à Roquetoire, le 16 mars à Sains-en-Gohelle.

10
Août
18

Quatre groupes pour la soirée rock

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C’est désormais une tradition… Une soirée rock est organisée sous chapiteau dans le cadre de la ducasse. Et cette année le programme s’est enrichi avec la présence de quatre groupes : les Shadow Pussies, GroundZero, Iron Bastards et Les Overdrivers, respectivement à 18h, 19h30, 21h et 22h30.
L’entrée est gratuite et l’ouverture des portes se fera à 17h30.

22
Juin
18

Foyer laïque, fête des écoles : ça va danser

Le foyer laïque des jeunes et d’éducation populaire présentera son nouveau spectacle intitulé Diva, samedi 23 juin, à partir de 20h, salle polyvalente. Les enfants et les adultes seront sur scène pour danser sur des voix de chanteuses célèbres, thème retenu par toute l’équipe de l’association.
Également samedi, aura lieu la fête des écoles (après-midi). Et le matin : don du sang.
En revanche pas de séance de marche nordique ce samedi. La dernière aura lieu, samedi 30 juin, au départ d’Hurionville, en raison du marché aux puces organisé ce jour-là par l’harmonie.

 

04
Juin
18

Je veux voir Mioussov : première à Burbure

Après le succès de leur création « On est riches !» et une tournée de deux ans, la troupe du Théâtre des 3 Mots prépare un nouveau spectacle «Je veux voir Mioussov», comédie en deux actes de Valentin Kataiev. La première aura lieu le 15 septembre à Burbure.

L’intrigue se passe Moscou, pendant l’ère soviétique. Le camarade Mioussov, honnête fonctionnaire, a l’habitude de passer ses dimanches aux Tournesols, une maison de repos raffinée. Ce dimanche matin, sa quiétude va être perturbée par un certain Zaïtsev qui souhaite à tout prix lui faire signer un bon pour obtenir de la peinture, quitte à se faire passer pour le mari de la célèbre Klava Ignatiouk, ingénieur agronome. Mais celle-ci arrive aussi aux Tournesols pour retrouver son mari qui revient d’une expédition dans l’Arctique. Le personnel et les pensionnaires vont alors être emportés dans de multiples quiproquos, poursuites, jeux de cache-cache et substitutions de personnages, transformant l’établissement en un véritable vaudeville.

L’auteur : Valentin Kataïev
Valentin Petrovitch Kataïev (1897-1986) est un écrivain soviétique, auteur principalement de romans et de pièces de théâtre. Son art de traiter de manière ironique, mais légère et sans critique politique, lui permit de faire une brillante carrière d’homme de lettres soviétique. Son talent, son don d’imagination, sa sensibilité et son originalité lui ont assuré une place remarquée. Il commence à écrire des nouvelles en 1916. En 1920, il travaille comme journaliste à Kharkiv. En 1922, il s’installe à Moscou où il travaille à partir de 1923 dans le quotidien du syndicat des cheminots Goudok et collabore parallèlement avec d’autres périodiques sous des pseudonymes. En Europe occidentale, Valentin Kataïev est connu par cette pièce de théâtre, Je veux voir Mioussov, comédie qui présente de manière légèrement ironique, mais surtout d’un comique débridé et sans prétention, les lourdeurs de l’administration soviétique. Par le passé, la version française sur laquelle le Théâtre des 3 Mots travaille, a connu un grand succès.

Formés à Aire
Comédiens issus de l’Atelier théâtre d’Aire sur la Lys dirigé par Bruno Masquelein et Catherine Colle, le Théâtre des Trois Mots a été créé en 2007. Son nom atypique est inspiré d’une pratique théâtrale chère aux membres : l’improvisation basée sur l’énoncé de trois mots. Symbole d’une époque, ce nom s’affirme comme le trait d’union parfait entre les comédiens.
Lors de leur participation à l’animation d’Aire ville ouverte en 2010, une nouvelle génération de comédiens issus eux aussi des mêmes enseignements, croisent le chemin de quelques « anciens » pour la pièce du Diable Bredouille. Pièce qui marque, sans aucun doute, la naissance d’une troupe. Désireux de poursuivre l’aventure théâtrale ensemble, ils décident la reprise de la compagnie du « Théâtre des Trois Mots ». Ainsi, l’association compte aujourd’hui neuf membres et pratique tous les styles théâtraux.
Ayant rencontré un franc succès avec Histoires d’Hommes de Xavier Durringer en 2008, L’Eté des Coquettes de Dancourt en 2012 et 2013 et On est riches ! de Baptiste Michel Victor en 2015-2017, les comédiens reviennent sur scène pour défendre des personnages piquants.

L’annonce en vidéo

15
Avr
18

Rythmes latinos pour l’harmonie

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Samedi dans une salle polyvalente bien garnie, l’harmonie Avenir a célébré le printemps sur le thème de l’Amérique latine, après le cinéma l’an dernier et un tour du monde en 2016. Amaury Bart, président, a présenté les musiciens ayant rejoint les pupitres récemment : Jean-Loup Urze, aux percussions ; Alain Lelong, au cor et Agnès Delhaye, au cornet. Il a ensuite souhaité un prompt rétablissement aux sociétaires souffrants : Claude Potier, Michel Pailleux, André Héren et Nicole Dufour. Son frère, Anicet a pris le relais, pour débuter l’audition avec une marche mexicaine, Zacatecas.
Les 75 musiciens sont restés au Mexique avec Scènes des aztèques, pièce de concours, montrant que l’harmonie n’a pas perdu la main depuis le concours de juin dernier où elle avait confirmé son classement en Excellence. Ont ensuite été joués : 1492, mélodie de Vangélis, qui fait référence à la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb et Cap Horn qui a emmené le public à la pointe sud du continent, guidé par Mathieu Westrelin, brillant soliste au cor.
La seconde partie, plus festive a fait la part belle aux rythmes latinos. D’abord avec Latin ABC qui s’inspire de l’ambiance musicale, au son des percussions de trois îles des Antilles néerlandaises: valse joyeuse dans le style de Curaçao, salsa lente de l’île de Bonaire et marche entraînante qui emmène l’auditeur au soleil d’Aruba. Libertango certainement le plus connu des tangos argentins, qui n’est pas une musique à danser ou à chanter, mais une musique de concert pour orchestre, œuvre magnétique et envoûtante d’Astor Piazzolla, a ensuite été interprétée au bandonéon par Michel Varetz. L’Argentine est restée au programme avec Don’t cry for me Argentina, air le plus connu de la comédie musicale Evita, inspirée de la vie d’Éva Perón, épouse du dictateur argentin Juan Perón des années 40 et 50. Passant par Cuba, Besame mucho, boléro devenu la chanson en espagnol la plus reprise du XXe siècle, était interprété par Régine Bart. Le programme s’est achevé en Colombie avec El Cumbanchero, samba passée à la postérité avec l’orchestre de Tito Puente. Plébiscitée par un public satisfait, l’harmonie a conclu la soirée avec un double bis, joyeux et rythmé avec Latin ABC et Vino Griego repris en chœur par l’auditoire.

22
Fév
18

Bon bol d’air pour l’harmonie qui a 120 ans

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L’harmonie Avenir a 120 ans cette année et pour fêter cet anniversaire, elle s’est offert un beau cadeau avec un concert du brass band de la musique de l’Air coorganisé avec la municipalité et qui a eu lieu vendredi dernier, salle polyvalente.

Devant un auditoire bien fourni, la formation qui excelle dans son domaine, a effectué une très belle prestation permettant de mesurer toute l’étendue des sonorités qu’offrent les cuivres, des plus souples aux plus dures, grâce notamment à un programme très éclectique qui laissait une bonne place à la commémoration de la Grande Guerre.
Entre les valses, la musique de kiosque, les marches, les compositions classiques ou plus contemporaines avec des pièces parfois écrites spécifiquement pour les brass bands, les exécutants qui sont autant militaires que musiciens, se sont aussi évertués à mettre en valeur les différents instruments (trompettes, cornets, trombones, tubas, etc.) pour autant d’ingrédients relevés par des percussions de haute précision.
La présence de cet orchestre de cuivres à Burbure ne devait évidemment rien au hasard. L’ancien chef et directeur de l’harmonie, Gilles Foulon, est un ancien de l’Armée de l’air. Mais il n’est pas le seul Burburain à s’être assis aux pupitres de cette prestigieuse formation musicale dirigée depuis 2005 par le colonel Claude Kesmaecker, qui compte aussi un orchestre d’harmonie et un orchestre de jazz. Les concernés, Joël Dubois et Michel Varetz étaient d’ailleurs là, ce dernier ayant en plus le plaisir de pouvoir écouter deux de ses compositions dont (Doux Vertige), jouée par ses anciens collègues. Bel hommage rendu au musicien dont l’implication au sein de l’harmonie Avenir présidée par Amaury Bart, est constante. Ce qui contribue au rayonnement de la société que soulignait le maire René Hocq.- Texte et photos : Philippe Vincent-Chaissac

06
Fév
18

L’orchestre de cuivres de la Musique de l’Air en concert

Photo © Armée de l’Air

Dans le cadre de son 120e anniversaire, l’harmonie Avenir coorganise avec la municipalité un concert exceptionnel avec la venue de l’orchestre de cuivres de la Musique de l’Air dirigé par le colonel Claude Kesmaecker. Le concert aura lieu salle polyvalente, le vendredi 16 février, à 20h30.
Fort d’une trentaine de musiciens professionnels, ce brass band a été créé en 2002. La brillance des cornets, bugles et cors, ainsi que le timbre chaleureux des saxhorns, trombones et tubas, lui procurent une palette sonore riche et étendue. Le haut niveau de ses exécutants permet d’aborder tous les répertoires et styles de musiques (œuvres classiques, musiques légères, compositions originales, etc.).
Le nombre de place étant limité, il est prudent d’acheter ses places, en vente en mairie (fermée les lundi et jeudi après-midi) au prix unique de 7 €.

07
Déc
17

L’harmonie résolument tournée vers l’avenir

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Les musiciens de l’harmonie Avenir ont fêté la Sainte-Cécile dimanche dernier, d’abord avec une messe en musique célébrée par l’abbé Jean-Paul Hazelart, ensuite par un défilé suivi d’une réception dans la salle de l’ancien cinéma.

Celle-ci débutait par une salve d’applaudissements à la mémoire de deux proches de l’harmonie, Claudette et René Leclercq qui ont organisé le marché aux puces des Castors pendant 20 ans, qui ne rataient aucun concert, ni messe de Sainte-Cécile. Résolument tournée vers l’Avenir, l’harmonie a intégré durant l’année, huit jeunes musiciens formés à l’école de musique municipale. L’occasion pour René Hocq, maire de la commune, de parler de René Déjardin, disparu il y a vingt ans (hommage lui sera rendu samedi), qui avait été le principal artisan de la création de cette école, en 1990, pour faire face aux difficultés financières que rencontrait l’harmonie à cette époque. Un choix qui s’est avéré bénéfique puisqu’elle est le principal vivier de l’harmonie.

L’Amérique latine au concert de printemps
Dans son propos, Amaury Bart, président de la société, est évidemment revenu sur le concours de classement à Calais qui permet à l’harmonie de prendre rang en division Excellence, à un niveau qu’elle n’avait jamais atteint. Un résultat très flatteur pour une commune de 3000 habitants. La satisfaction est d’autant plus grande que près la moitié des membres de l’orchestre participait à un concours pour la première fois ; et Amaury Bart de remercier encore le chef Gilles Foulon (qui depuis a quitté la direction) qui a su amener ses musiciens à leur meilleur niveau. Cette page tournée, l’harmonie est désormais dirigée par Anicet Bart, issu des rangs de l’harmonie, qui prenait déjà régulièrement la baguette et a accepté de prendre la suite à son retour de Nantes où il effectuait ses études. Après le concert d’automne où il était officiellement intronisé, le concert de printemps sur le thème de l’Amérique latine (le 7 avril) sera pour lui l’occasion de faire travailler aux musiciens, un programme qu’il a lui-même concocté.

La Musique de l’Air pour le 120e anniversaire
2018 sera une année particulière pour l’harmonie qui fêtera ses 120 ans en accueillant une formation de prestige le vendredi 16 février : l’orchestre de cuivres de la Musique de l’Air de Paris, dirigé par le colonel Claude Kesmaeker et dont ont fait partie Gilles Foulon et Michel Varetz. Particulière aussi parce que le projet de nouvelle mairie qui semble sur de bons rails après la démolition de l’école Maquet achevée la semaine dernière, devrait permettre à l’harmonie d’élire domicile (une fois les travaux terminés) dans la salle de l’ancien cinéma. De quoi rassurer tout le monde d’autant que les craintes liées à la création de la nouvelle école de musique intercommunale de Béthune-Bruay… sont estompées. « À ce jour, il n’y a pas d’impact sur le fonctionnement de l’école municipale (de Burbure) » dit Amaury Bart qui invite toutefois à rester vigilant sur le moyen terme. (À suivre)

19
Oct
17

6e concert d’automne pour l’harmonie

L’harmonie Avenir.- Photo archive Votre Info / PVC

L’harmonie Avenir de Burbure organise son sixième concert d’automne, ce samedi 21 octobre à 20h, salle polyvalente. Elle assurera la première partie, dirigée pour la première fois par Anicet Bart qui a succédé, à Gilles Foulon. En seconde partie, l’Harmonie municipale de La Gorgue, dirigée par Vincent Meurin et Rémi Leconte. Et en final, deux titres festifs rappelant les bandas du sud-ouest, joués en commun par les 150 musiciens.




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